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rédaction
le 12 novembre 2018
Extérieurement, le DS 7 est imposant, avec des lignes harmonieuses qui le destinent aux beaux quartiers. Il est campé sur de belles jantes de 19 pouces (20 pouces en option). Sur la route, on admire ses clignotants à leds et à défilement, une innovation que nous avons vue pour la toute première fois sur la… DS 5 et que d’autres marques ont depuis copiée.
À l’intérieur, les designers se sont lâchés et ils ont décliné le thème du diamant un peu partout: c’est à la fois original et en harmonie avec le choix des belles matières (Alcantara).
Les facettes de diamant sont également le thème graphique repris au niveau des blocs optiques à leds. On notera la notion très personnelle de l’ergonomie des designers français : la clientèle habituée aux Allemandes est un peu débousolée. Il a fallu nous faire aider pour trouver le contact (merci Marc) !
Photos © vroum.info
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DS est la marque premium du groupe PSA (comme Lexus pour Toyota, Infiniti pour Nissan), c’est la seule marque premium française et elle reprend un peu la recette de la mythique DS, à savoir des solutions techniques originales à de nombreux points de vue, mais des motorisations qui restent classiques. Ainsi, le DS7 Crossback a sous le capot un 3 cylindres essence d’1,2 litre, un 4 cylindres essence d’1,6 litre, ou un 4 cylindres diesel d’1,5 litre ou 2 litres. Ce sont forcément toujours des «traction avant». Grâce à son poids plume pour sa catégorie (1425 kg) et une boîte de vitesses automatique à 8 rapports, le 0 à 100 km/h est atteint en 8,2 secondes avec le moteur le plus puissant (1,6 litre essence de 165 kW/225 chevaux).
Le DS 7 Crossback bénéficie d’un fort potentiel et il est apte à donner à la marque DS ses «lettres de noblesse». Il représente une alternative «cocorico» aux Q5 Audi, X3 BMW et autres Jaguar e-Pace.
Lire ici notre essai de la DS 7, en version hybride de 300 ch
