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auteurMis en ligne par rédaction le 4 décembre 2011

BMW Série 1 (F20)

Munich n’est pas loin

La BMW série 3 compact a été arrêtée en 2004. Entre 2004 et 2011, pas moins d’un million de BMW série 1 ont été produites: il est clair que la série 1 a repris le flambeau dans la catégorie très en vogue des « berlines compactes ». La nouvelle série 1 (code modèle F20) offre un très fort potentiel dynamique. Cela reste la seule propulsion du segment.

Sa ligne s’est imposée dans le public et tout le monde reconnaît maintenant au premier coup d’œil une Série 1 de chez BMW. La nouvelle génération (F20) ayant un caractère encore plus affirmée, avec notamment une face avant qui revient au nez de requin des anciens modèles de BMW tels que la 635 CSI, c’est la garantie de rouler avec une voiture reconnaissable entre toutes, une voiture que l’on ne peut pas confondre avec le reste de la production automobile. Ça, c’est pour les autres. Pour le pilote (un terme qui est ici plus adapté que «conducteur»), la nouvelle série 1, c’est avant tout une voiture au comportement routier enthousiasmant et aux performances élevées. N’importe quelle voiture peut circuler aux vitesses imposées par le code de la route et s’avérer confortable et sûre à 110 km/h, la vitesse la plus élevée qui soit autorisée à La Réunion.

C’est au delà que la BMW révèle son véritable caractère et se transforme, comme si on réveillait une bête en elle! Et ça, toutes les voitures ne peuvent pas en dire autant! N’oublions pas que cette voiture est née dans un pays où, sur plusieurs tronçons d’autoroute, la vitesse n’est pas limitée et où il n’est pas rare de rouler à 200 km/h dès que le trafic le permet et se faire dépasser par d’autres qui roulent à 220 km/h, voire bien au dessus. La nouvelle BMW série 1 est très à l’aise dans ces circonstances. Pour le pilote réunionnais, même s’il respecte les limitations de vitesse en vigueur ici, c’est un immense plaisir de savoir que sa voiture dispose d’un tel potentiel.

Photos © vroum.info
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)

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BMW n’a pas lésiné sur les moyens: turbocompresseur Twin Scroll (lire encadré) , injection directe High Precision, distribution variable VALVETRONIC , calage variable des arbres à cames double VANOS. On notera que c’est quand même un déluge de technologie assez rarement vu sur un modèle d’entrée de gamme. Mais c’est ça le premium: dès l’entrée de gamme, on a droit au meilleur!

Par contre, le 6 cylindres a disparu du catalogue (il subsiste sur la série 1 M, ancienne caisse) et on n’a plus le choix qu’entre deux blocs essence (116i de 136 cv et 118i de 170 cv) et trois blocs diesel, (116d de 116 cv, 118d de 143 cv et 120d de 184 cv) tous quatre cylindres, un choix dicté par les préoccupations environnementales: toutes les motorisations actuellement disponibles sont neutres en ce qui concerne l’écotaxe (ni bonus ni malus, zéro euro). Les performances écologiques sont obtenus par les motorisations «sages» mais aussi au recours à de nombreux composants en aluminium (diminution du poids de la voiture), le Auto/Start Stop, la récupération d’énergie de freinage et un afficheur de changement de vitesse.

Vous connaissez BMW: avare en carburant mais pas avare en sensations, comme nous a convaincu l’essai de la 120d sport aimablement prêtée par HG Autos. Pour offrir une voiture versatile, douce ou «ravageuse» selon l’humeur du moment, BMW a installé un petit bouton sélecteur avec quatre positions: éco-pro, confort, sport et sport +. Chaque position intervient sur la carte graphique d’injection, d’allumage, le réglage des suspensions, l’assistance de direction et les aides électroniques à la conduite.

La répartition des masses entre l’avant et l’arrière est très proche de l’idéal (50/50), grâce notamment à une batterie installée dans le coffre, à la place de la roue de secours, qui est supprimée.

La position de conduite est conforme à l’image sportive de la marque, avec un siège assez bas et au maintien latéral parfait, un petit volant multifonctions (radio, téléphone, cruise control), etc.
L’agencement intérieur se plie volontiers aux besoins d’une petite famille (banquette fractionnable, etc.) Le gabarit général de la voiture a d’ailleurs évolué (85 mm de plus en longueur, 17 mm en largeur, hauteur inchangée) pour plus d’habitabilité aux places arrières, un coffre qui gagne 30 litres mais également pour une tenue de route améliorée (largeurs de voies et empattement améliorés).
Par rapport à l’ancienne génération, la nouvelle série 1 offre des dimensions à la hausse: longueur 4.324 mm (+85), empattement 2.690 mm (+30), largueur 1.765 mm (+17), hauteur 1.421 millimètres (inchangée).
Pour la première fois sur une BMW, les répétiteurs latéraux des clignotants sont intégrés dans les rétroviseurs extérieurs.

Double turbo kézako ?

Le turbo, on connaît: une turbine est entraînée par les gaz d’échappement et cela permet de faire tourner une autre turbine, qui comprime l’air à l’admission et permet ainsi de gaver davantage le moteur en air frais via un intercooler. Le double turbo fait la même chose mais par groupe de deux cylindres sur un 4 cylindres (et par groupe de 3 cylindres sur un 6 cylindres). Cette technique permet de moins perturber l’écoulement des gaz d’échappement et ainsi de gagner quelques chevaux supplémentaires.

 # BMW   # Allemagne drapeau   # segment C 

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